Petit-déjeuner, brunch, déjeuner, tea-time ou goûter… Peu importe le moment de la journée pour profiter de la jolie terrasse végétalisée et du lumineux jardin d'hiver de L’Insolent. Ce salon de thé et restaurant respire la fraîcheur...
Caché derrière les feuillages, cela fait que deux ans que L’Insolent s’est installé sur le Boulevard Victor Hugo. Ne passez pas à côté. La première visite aura un goût de reviens-y.
Leurs produits sont frais et locaux, avec une ardoise d’une quinzaine de plats qui change régulièrement. Cet écrin lumineux est l’endroit parfait pour petit-déjeuner, avec un vaste choix pour les fans de sucré ou de salé : viennoiseries, pancakes, gaufres, baguettes – à l’original – œufs brouillés, au plat, mollets, mimosas, omelettes, et leur fameux roll toasté avocat-feta ou saumon gravlax. Envie de fraîcheur ? Essayez le yaourt grec aux fruits frais de saison ou l’assiette de fruits elle-même.
Le chef aime s’amuser et varier les plaisirs. Les menus du midi changent donc chaque semaine et sont annoncés sur leurs réseaux sociaux pour vous donner envie. Pas de risque de vous lasser donc si vous êtes un habitué.
Leurs propositions sont joliment mises en page dans un menu en forme de journal. Les menus offrent toujours des options poisson, viande, végétariennes ainsi qu’une spécialité du chef.
Le cadre est à la fois élégant et décontracté. On s’y sent bien toute l’année grâce à la terrasse et une verrière découvrable très lumineuse créant une impression de dedans-dehors.
Si le nom du lieu joue l’anticonformisme, vous pourrez néanmoins trouver plus de tranquillité et d’intimité dans quelques coins cosy hérités de l’ancien salon de thé. Une ambiance chaleureuse imprègne cette adresse grâce à une équipe attentionnée aux nouveaux arrivants et qui bichonne les habitués.
Certains fidèles ont laissé des traces de leur passage dans la déco. La légende dit que le tableau avec une tête de chien est le portrait de Max, offert par ses propriétaires, grands habitués de L’Insolent, aux gérants. Qui sait, peut-être aurez-vous la chance de le croiser ?
Par Alexandra Israelsson
